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NOMBRES CONGRUENTS Formules Formules génériques pour créer des nombres congruents. |
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Nous connaissons la formule
générique permettant de créer des nombres congruents à partir de nombres
entiers. Suite >>>
Nous savons également qu'un nombre congruent (n)
se déclinent en une infinité de nombres congruents par la relation: Suite >>>
Nous allons découvrir une autre
formule générique qui permet de créer de nouveaux nombres congruents à partir
d'un exemple connu. Nous verrons que la formule est lourde pour créer de
nouvelles valeurs numériques, mais sa forme littérale
est intéressante pour ses applications. |
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Selon la définition du nombre congruent et sur un exemple.
Ou, sous une forme plus
générique qui permet l'introduction des nombres rationnels. |
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Passons à une forme
littérale. |
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Propriétés en additionnant
Propriétés en soustrayant.
Propriétés en multipliant. |
2A² = C² + D² = ½ (C-D) + ½ (C+D) 2n.B2 = C2
– D2 = (C – D) (C + D) A4 – n2
.B4 = C2.D2 |
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Système d'équation équivalent
donnant A et B en fonction de C et D |
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Création d'un nouveau nombre |
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Valeurs successives pour n =
120
Avec quatre itérations
seulement, on se situe déjà dans les 10300 ! |
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Les
nombres 1 et 2 ne sont pas congruents
Fermat
connaissait cette mise en forme des équations relatives
aux nombres congruents.
Il étudie les solutions de
l'équation: A4 – n2 .B4 = C2.D2
& A4 + n2 .B4 = C2.D2 Avec n = 1
et n = 2: A4 – B4 = C2.D2 &
A4 + B4
= C2.D2 A4 – 4B4 = C2.D2 &
A4 + 4B4 = C2.D2
Qui n'ont aucunes solutions
intéressantes (non triviales).
Partons du système
d'équation:
Ses solutions: Avec x et y deux entiers premiers entre eux et de parité
différente.
En reprenant une des
équations pour exprimer notre nombre congruent en fonction des solutions x et
y: n. B² = ½ . 4 (x.y) . 2 (x² – y²) = 4
(x.y) (x² – y²)
Or, B² est un nombre entier
qui vaut la moitié d'une expression en nombres entiers, donc B est pair; et
on pose B = 2b. n. (2b)² = 4 (x.y) (x² – y²) n. b²
= (x.y) (x² – y²) On se souvient qu'un nombre congruent primitif est un nombre sans facteur carré. nprimitif =
(x.y) (x² – y²)
C'est une formule pratique qui est utilisée pour calculer
des nombres congruents
Elle fait intervenir le degré
trois, une allure qui fait penser au degré des courbes
elliptiques. Ce qui est confirmé lorsqu'on poursuit l'analyse. |
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Voir |
Addition - Glossaire Pythagore – Biographie |
Diconombre |
Nombre 5 Nombre 6 Nombre 7 |
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