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K |
1777 – 1855 78 |
Allem Brunswick - Göttingen |
Mathématicien, physicien et astronome allemand
Dit le prince des m Théorie des probabilités (loi de Gauss)
M Optique géométrique Électricité M Astronomie (tr Géodésie
Très méticuleux et perfectionniste, sa devise était Pauca sed matura: peu de choses, mais des
choses mûres.
Ses principaux élèves: Friedrich
Bessel, Sophie Germain, Richard Dedekind, Bernhard Riemann. |
1777 |
0 |
Né à Brunswick le 30 avril. Famille
pauvre et mère illettrée. |
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3 |
Il détecte une erreur de calcul dans
le dossier de son père. |
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≈ 14 |
Il donne la formule du calcul de la somme des entiers de 1 à 100 . |
1794 |
17 |
Étudie les langues anciennes.
Se met aux mathématiques à l'âge de
17 ans. |
1795 1798 |
18 |
Université de Göttingen. |
1799 |
22 |
Thèse de doctorat: il y démontre le
théorème fondamental de l’algèbre à l’aide des nombres complexes; il trouvera
quatre démonstrations différentes. |
1801 |
24 |
Disquisitiones
arithmeticae - Traité d'arithmétique, ouvrage
fondateur de la théorie des nombres, une nouvelle approche de l’arithmétique. |
1804 1809 |
27 |
Sophie Germain correspond avec
Gauss, d'abord sous le pseudonyme de Le Blanc, puis sous son nom véritable. |
1807 |
30 |
Nommé professeur de mathématiques et
directeur de l'observatoire de Göttingen, deux postes qu'il occupa jusqu'à sa
mort. Considéré comme l'artisan du rayonnement de cette ville. |
1827 |
50 |
Disquisitiones generales circa superficies curvas – Géométrie
Traité de géométrie différentielle
où Gauss étudie les surfaces et leurs courbures et leurs géodésiques. il
introduit les coordonnées
curvilignes, dites de Gauss. |
1831 |
54 |
Définition précise des nombres complexes. |
1839 |
62 |
Théorie générale
du magnétisme terrestre. |
1855 |
78 |
Mort le 23 février à Göttingen. |
Théorie des nombres |
Nombres
Remarquablement précoce, il reconstruit seul les
connaissances des Anciens. |
Division – Théorème (ou lemme) de Gauss Si d divise ab et si d et a sont premiers entre eux
[pgcd(a,d) = 1], alors d divise b. |
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Congruence
Loi de réciprocité quadratique. |
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Nombres premiers
Gauss donne une formule pour la répartition des nombres premiers. Quantité de nombres premiers
inférieurs à n: π(n) ≈ n / ln(n). |
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Nombres complexes
Représentation en tant que points du plan.
Résout ainsi les équations complexes.
Et donne la première démonstration du théorème fondamental
de l’algèbre. |
Ensemble |
Théorie des ensembles
Gauss est sur la piste des propriétés des anneaux et
des corps, résultant de ses travaux sur les équations diophantiennes (Voir
groupe). |
Algèbre |
Équ
Travaux sur les équations diophantiennes (étude d'équations en
nombres entiers). Équ
Gauss est aussi à l'origine de la théorie des nombres
algébriques, utilisée pour résoudre les équations polynomiales.
Gauss démontre que: Toute équation polynomiale a au
moins une solution
Méthode de Gauss dite du pivot qui permet d'obtenir une
matrice triangulaire.
Gauss perfectionne la méthode des moindres carrés de
Legendre: résolution de systèmes d'équations par approximation. Notamment, il calcule l'orbite de Cérès, découverte en 1801 par
l'astronome italien Giuseppe Piazzi. |
Théorème
fondamental de l'algèbre ou théorème de d'Alembert-Gauss.
Gauss le démontre: La quantité de racines, réelles et
complexes, d'un polynôme est
égale à son degré, ou autrement formulé Tout polynôme d'une variable
complexe, de degré n, admet n racines complexes (éventuellement égales) |
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En 1799, il démontre que G = 0,834 …, la moyenne
arithmético-géométrique de 1 et de racine de 2, vaut: |
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Séries
Travaux sur la convergence des séries. |
Géométrie |
Génér
Coordonnées gaussiennes caractérisant la géométrie des
surfaces courbes.
Premier à mettre au jour la géométrie non-euclidienne hyperbolique (courbure négative). |
Construction d'un polygone régulier
de 17 côtés
à la règle et au compas.
Gauss trouve la solution en 1796.
Il montre aussi que: La construction, à la règle et au
compas, d'un polygone régulier comportant un nombre impair de côtés n'est
possible que pour un nombre égal à l'un des nombres premiers 3, 5, 17, 257 ou
65 537 (nombres premiers de Fermat),
ou à un produit de ces nombres. |
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Théorie des nœuds: définition du nombre d'entrelacs pour une paire de nœuds. |
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Aire
du pentagone convexe quelconque à partir de
l'aire des triangles issus d'un sommet |
St |
Loi de Laplace-Gauss ou distribution de
Gauss ou loi normale.
Fonction de probabilités continues utilisée pour les calculs
statistiques comme une approximation de nombreuses fonctions de probabilités.
loi de répartition représentée par une courbe en cloche, dite fonction de Gauss ou gaussienne.
Utile pour étudier les phénomènes aléatoires à causes
multiples. Exemple: les bruits réels
ont en général une répartition gaussienne autour d’une fréquence donnée. |
Courbe
de G
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Voir Courbe
de Gauss
Voir |
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Aussi |
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